jeudi 25 octobre 2012

RDC-CAN 2013 : Claude Leroy: « On a une chance de passer au second tour»



Claude Le Roy. Radio Okapi/ Ph. John BompengoClaude Le Roy. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
L’entraineur de l’équipe nationale de football de la RDC, Claude Leroy, a déclaré ce jeudi 25 octobre a Radio Okapi que son équipe dispose d’ « une chance de passer au second tour de la CAN- Afrique du sud 2013, si la préparation se déroule dans de bonnes conditions ». Au terme du tirage effectué mercredi à Durban en Afrique du Sud, la RDC se retrouve dans le groupe B avec le Ghana, le Mali et le Niger.
«Oui, on a une chance de passer au second tour, si tous les moyens sont mis en œuvre pour qu’on puisse bien se préparer. D’abord, le 14 novembre, on commence avec un match amical. Ensuite, un stage pour les locaux quelque part pendant une dizaine de jours en décembre, puis [on va] avoir tout l’effectif a partir du 3 janvier pour les deux dernières semaines de préparation qui seront déterminantes. C’est là où tout sera joué», a déclaré le technicien français.
 «Nous commençons le 20 janvier avec le Ghana dans le stade Nelson Mandela. J’y avais livré un match amical avec une sélection du monde où j’étais sélectionneur lors des 89 ans de Mandela. C’est un symbole, car j’avais envie d’y jouer et mes vœux ont été exaucés», a affirmé Claude Le Roy.
Le sélectionneur des Léopards, qui a quitté Durban ce même jeudi pour la France, a par ailleurs émis le vœu de déjouer les pronostics défavorables à la RDC pour passer le quart de finale de cette CAN.
«Nous sommes dans une poule compliquée avec les deux demi-finalistes de la dernière CAN : le Ghana et le Mali. Le Ghana est quart de finaliste du mondial 2010 et éternel prétendant au titre continental. Aussi, le Mali qui a fini troisième avec une grosse équipe. Donc, il y aura deux outsiders, nous et le Niger, et deux favoris. C’est à nous de déjouer les pronostics pour passer le second tour»,prévient-il.
Et Claude Le Roy de conclure : «Je savais qu’on ne devait pas avoir un tirage clément, à partir du moment où on était dans le dernier chapeau. En y étant, on ne devait que tomber contre des gros».

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