samedi 17 septembre 2016

Mukoko Mayayi quitte DCMP pour Sanga Balende

Le milieu de terrain du DCMP Alain Mukoko Mayayi, a signé jeudi 15 septembre un contrat de deux saisons avec Sa Majesté Sanga Balende de Mbuji-Mayi. L’annonce est faite par le chargé de communication des « Anges et les Saints », Vincent Ngoy.
Le montant de son transfert n’a pas été révélé à presse.

L’ancien joueur du DCMP prendra part avec les « Rouges et or » de Mbuji-Mayi à la prochaine édition de la Coupe de la Confédération de la CAF et au Championnat de la Ligue nationale de Football (LINAFOOT).

Mukoko Mayayi est arrivé au DCMP en 2011, avec le coach serbe Lazard Milosevic. Sa bonne prestation lui a valu le surnom de « Xavi », nom du milieu de terrain de FC Barcelone d’Espagne.

Métronome du DCMP dans l’entre jeu, les bonnes prestations de Mukoko ont poussé les dirigeants du club à l’intégrer au sein du capitanat de l’équipe en 2014.Une année après l’arrivée de l’entraîneur Mwinyi Zahera, Il sera suspendu pour « mauvais comportement ». Mukoko restera longtemps sur le banc des réservistes. Faute de temps de jeu, Mukoko Mayayi a décidé cette saison de quitter le DCMP pour évoluer dans Sanga Balende.

Le club de Mbuji-Mayi continue sa préparation et son recrutement tant sur le plan national qu'international.
Selon le service de communication du club, Sanga Balende compte aussi recruter l’ailier droit de Shark XI, Cédrick Ngulubi, qui s’entraîne déjà avec le DCMP. Une information démentie dans les milieux des Immaculés.

Mercredi 14 septembre, SM Sanga Balende a accueilli deux nouvelles recrues. Il s’agit des internationaux ghanéens Abdoul Razak (Avant-centre, en provenance du Bereckum Chelsea), et James Bissue (Milieu de terrain en provenance de l'impact Montréal du Canada).

Idrissou Abdel Nafiu, l’autre Ghanéen sous contrat avec Sanga Balende a déjà regagné l’équipe après ses vacances, précise le service de communication de l'équipe.​

lundi 5 septembre 2016

Mondial de rugby 2023 : l’Afrique du Sud candidate malgré l’opposition du gouvernement


L'Afrique du Sud a confirmé sa candidature à l'organisation du mondial de rugby en 2023, qu'elle se disputera avec la France, l'Italie et l'Irlande. Une annonce qui a de quoi surprendre puisque le gouvernement n'y était pas favorable et que les Springboks, l'équipe nationale, ne sont pas au mieux sur et en dehors du terrain.
La fédération sud-africaine de rugby a donc décidé d’outrepasser l’opposition du gouvernement et s’est portée candidate à l’organisation du mondial de rugby 2023. Pour remporter le sésame, l’Afrique du Sud devra proposer un projet plus séduisant que ses trois concurrents, la France, l’Italie et l’Irlande. La délibération de World Rugby, l’instance suprême de ce sport, aura lieu en novembre 2017.
L’éternel obstacle des quotas
D’ici là, l’Afrique du Sud devra séduire à l’intérieur de ses propres frontières. Économiquement parlant, la candidature de la fédération sud-africaine n’a rien d’aberrant dans la mesure où la plupart des installations sportives nécessaires sont déjà présentes depuis la Coupe du monde de football organisée en 2011. Au contraire, si l’Afrique du Sud venait à rafler l’organisation de l’événement, cela rentabiliserait un peu plus les sommes colossales investies pour construire les enceintes destinées au mondial de football, qui s’apparentent plus aujourd’hui à des stades fantômes.
Mais ces derniers mois, le gouvernement a exprimé sa réticence à la candidature sud-africaine, argumentant que l’impératif des quotas, éternel obstacle du rugby sud-africain, n’était pas respecté par l’équipe nationale. Avec 8 joueurs de couleurs sur 24 dans le groupe sélectionné pour la Coupe du monde 2015 en Angleterre, les Springboks respectaient à peine les objectifs minimum mis en place par la fédération qui ambitionne, d’ici 2019 et le mondial au Japon, un groupe composé de 50% de joueurs noirs. Le quota de 13 joueurs qui devrait être en ce moment en vigueur n’est pour l’instant pas respecté.
Souvenir de 1995
Cette périlleuse mission incombera au nouvel entraîneur des Springboks, Allister Coetzee désigné en avril dernier pour prendre la succession du controversé Heyneke Meyer, à l’origine de la liste polémique du dernier mondial. Une pression qui ne sera pas évidente à gérer, d’autant plus que la fédération sud-africaine est en pleine mutation avec la démission le 17 août dernier de son président, Oregan Hoskins.
Nul doute que la fédération sud-africaine fera campagne sur le souvenir du seul mondial de rugby organisé dans le pays, victorieux de surcroît, en 1995. Un événement encore très fort symboliquement, marqué par le fameux cliché de Nelson Mandela, maillot de Sprinboks sur les épaules et casquette vissées sur la tête, remettant la coupe au capitaine victorieux des sud africain François Pienaar.
Décrit à l’époque comme la victoire d’une nation unie, survivante de 43 ans d’Apartheid, et portée par la figure de Nelson Mandela, ce mondial reste un événement à part dans l’histoire sud-africaine. 21 ans plus tard, les Springboks multiplient les polémiques autour des quotas, et ne reste du souvenir de 1995 que le matricule de prisonnier de Mandela, brodé sur la manche du maillot.

Feu d’artifice algérien en clôture des éliminatoires

L’équipe d’Algérie a clos les éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations par une large victoire 6-0 face au Lesotho, dans le groupe J, ce 4 septembre 2016 à Blida. Les Algériens, qui étaient déjà qualifiés pour la CAN 2017, ont marqué par Hilal Soudani (9e, 38e), Ryad Mahrez (18e, 74e), Saphir Taïder (23e) et Ryad Boudebouz (45e+2). Ils terminent ainsi avec la meilleure attaque de ces éliminatoires, avec 25 buts

Le Maroc « presque » un sans-faute

mediaHervé Renard, entraîneur du Maroc.FETHI BELAID / AFP
La sélection marocaine a battu São Tomé et Príncipe sur le score de 2-0 au stade Moulay Abdallah à Rabat. Une victoire qui permet au Maroc de terminer les éliminatoires de la CAN 2017 avec 16 points et leader du Groupe F.
Le Maroc était déjà qualifié pour la CAN 2017, mais pour son premier match à Rabat l’entraîneur Hervé Renard voulait accrocher une victoire, surtout après le match nul 1-1 face à la Libye au mois de juin.
Pour retrouver la confiance, les Marocains devaient surtout être réalistes devant les filets. D’ailleurs Hervé Renard avouait en conférence de presse que c’était un point à rectifier rapidement pour son équipe : « On n’est pas encore efficaces en phases offensives, mais avec le temps ça va venir ». Il n’a certainement pas dû être rassuré par la première mi-temps du Maroc.
Les Lions de l’Atlas ont eu du mal à entrer dans le match. Pourtant, les occasions étaient là, mais l’efficacité était toujours absente. Il faut toutefois reconnaître que Hervé Renard avait apporté du sang neuf dans son onze initial comme le milieu de terrain Youssef Aït Bennasser, joueur de Monaco prêté à Nancy, ou encore l’attaquant Aziz Bouhaddouz, qui joue à St. Pauli en deuxième division allemande.
La première mi-temps s’achève sur un 0-0 accompagné de sifflets dans le stade.
Nabil Dirar débloque la situation
La deuxième période commence sur le même rythme avec le Maroc dominant les débats et São Tomé et Príncipe résistant aux assauts des Marocains.
Celui qui va faire pencher la balance s’appelle Nabil Dirar. Le milieu de terrain de Monaco va être impliqué sur les deux buts.
Tout d’abord il provoque un penalty à la 55ème minute, qui sera transformé par l’attaquant de l’Ajax, Hakim Ziyech.
Sur le deuxième but, Nabil Dirar est tout simplement le passeur décisif. Sur le côté droit, il centre parfait pour le coup de tête puissant d’Aziz Bouhaddouz qui ne laisse aucune chance au portier de São Tomé et Príncipe, Jenimy Cravid Sousa.
On n’aura plus rien à se mettre sous la dent, le Maroc s’impose face à São Tomé et Príncipe sur le score de 2-0 et n’aura pas convaincu le public présent à Rabat.
Les Marocains terminent, tout de même, les éliminatoires de la CAN 2017 avec 16 points et la place de leader du Groupe F. L’unique faux-pas du Maroc aura été face à la Libye (1-1). On retrouvera les Lions de l’Atlas en janvier au Gabon.
Pour São Tomé et Príncipe, c’est la dernière place du Groupe F avec trois points.

La Guinée-Bissau finit sur une défaite face au Congo

media Image d'Illustration. AFP PHOTO / ISSOUF SANOGO
Les bissau-guinéens ont perdu, 1-0, lors de leur déplacement au Stade Municipal de Kintélé à Brazzaville face au Congo. La Guinée-Bissau confirme sa qualification pour la CAN, terminant à la première place du Groupe E avec 10 points juste devant les congolais qui comptabilise 9 unités.
La Guinée-Bissau, déjà qualifiée pour la prochaine Coupe d’Afrique des nations qui se déroulera au Gabon, se déplaçait ce dimanche au Congo lors du dernier match des éliminatoires pour la CAN 2017 pour ces deux équipes.
Sans enjeux, les deux sélections se sont neutralisées jusqu’au premier et unique but du match marqué par Férébory Doré (73'). L’attaquant d’Angers permet au Congo de finir sur une bonne note et à seulement un « petit » point de la Guinée-Bissau.
Guinée-Bissau, une première à la CAN
On le savait depuis quelques mois, les bissau-guinéens vont pouvoir officiellement fêter leur billet pour la CAN 2017 au Gabon, une première dans l’histoire de ce pays qui fait bien souvent parler de lui politiquement plutôt que sportivement.
Récemment, la Guinée-Bissau a su se distinguer par sa qualification mais aussi pour les joueurs qui ont des origines bissau-guinéennes comme Eder, l’attaquant portugais qui a donné la victoire au Portugal lors de la finale de l’Euro 2016 face à la France.
Il faut d’ailleurs rappeler que la plupart des joueurs jouent essentiellement à l’étranger. Le championnat bissau-guinéen, qui compte 14 équipes, a été suspendu cette année car il n’y avait plus d’argent dans les caisses de la Fédération.
Le Gouvernement de la Guinée-Bissau devra certainement mettre la main à la poche pour que le pays puisse participer à « sa » première Coupe d’Afrique des nations.

Zambie, Congo et Kenya passent à la trappe
Le Congo finit finalement à la deuxième place du classement avec 9 points, à seulement une unité de la Guinée-Bissau. C’est d’ailleurs l’unique pays à avoir battu deux fois les bissau-guinéens, 4-2 en Guinée-Bissau et 1-0 à domicile. Les Congolais auront certainement des regrets, mais finissent tout de même sur une bonne note.
Quant à la Zambie, elle loupera sa première CAN après six participations consécutives, dont un titre de champion d’Afrique (2012). Lors de leur dernier match, les Zambiens ont fait match nul, 1-1, à domicile, au stade Levy Mwanawasa à Ndola, face au Kenya. Les buts ont été marqués par Rainford Kalaba pour la Zambie et par Ayub Masika pour les Kényans.
Le Kenya finit bon dernier de ce Groupe E avec cinq points, à deux unités de la Zambie

Tops et flops des éliminatoires de la CAN 2017

media Les Tunisiens Wahbi Khazri et Taha Khenissi (à droite) ont contribué à la treizième qualification de suite des Aigles de Carthage pour une Coupe d'Afrique des nations. SALAH HABIBI / AFP
Les éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations 2017 se sont achevées ce 4 septembre 2016. L’occasion de dresser un bilan après 144 matches disputés sur le continent.
LES TOPS
La perfection sénégalaise
Six victoires en six matches, c’est le bilan presque parfait de l’équipe du Sénégal. Sans faire injure aux Burundais, Namibiens et Nigériens, les Sénégalais n’étaient évidemment pas dans le groupe le plus relevé de ces éliminatoires. Mais les Lions de la Téranga ont brillé, notamment en attaque. Reste à éviter un nouveau couac, dans quatre mois. La sélection sénégalaise avait quasiment réalisé le même sans-faute (5 victoires et 1 nul) en éliminatoires de la CAN 2012, avant de sombrer au premier tour de la phase finale...
La foi togolaise
Les Togolais à la CAN 2017, qui l’aurait cru ? Les chances de qualification des Eperviers étaient minces avant la dernière journée des éliminatoires. Claude Le Roy et ses joueurs ont eu le mérite d’y croire. Ils ont fini meilleurs deuxièmes et seront au Gabon, dans quatre mois. Un résultat salutaire pour une équipe qui, hors-course pour la Coupe du monde 2018, n’aurait plus eu de grande compétition à jouer pendant près d'un an.
La constance tunisienne
Les Togolais ont terminé derrière les Tunisiens. Certes, les Aigles de Carthage n’ont pas toujours été étincelants durant ces derniers mois. Mais ils ont signé une véritable performance en décrochant leur billet pour la CAN 2017. Ce sera en effet leur treizième phase finale de suite. L’équipe de Tunisie n’est plus très loin du record de participations consécutives (14) qui appartient à l’Egypte.
La puissance de feu algérienne
Les Algériens, eux, sont loin d’avoir été aussi constants que les Tunisiens au cours des vingt dernières années. Mais ils ont flambé au cours des quinze derniers mois. Avec 25 buts inscrits en 6 matches, ils disposent (de loin) de la meilleure attaque de ces éliminatoires. En janvier, ils feront encore figure de favoris du tournoi.
La surprise bissau-guinéenne
C’est LA surprise de ces éliminatoires. La Guinée-Bissau a fini devant le Congo-Brazzaville et surtout devant la Zambie. Du coup, les Bissau-Guinéens disputeront la première Coupe d’Afrique des nations de leur histoire.
LES FLOPS
Le chaos nigérian
Le Nigeria sera, de son côté, LE grand absent de cette CAN 2017. La faute, une nouvelle fois, à une gestion calamiteuse de la part des dirigeants de la Fédération nigériane (NFF) qui ont entre autre usé trois sélectionneurs durant les éliminatoires. Il y a d’abord eu l’énième mise à l’écart de Stephen Keshi – décédé depuis – en juillet 2015. Puis le départ fracassant de Sunday Oliseh, successeur de Stephen Keshi, en février dernier. Enfin, même le fidèle Samson Siasia, intérimaire au cours des derniers mois et qui vient de ramener une médaille de bronze olympique, a claqué la porte, faute de salaires versés, comme Oliseh.
Le gâchis tchadien
L’absence du Tchad à la CAN 2017 ne sera pas aussi marquante que celle du Nigeria. Les Sao n’ont jamais disputé une phase finale et n’avaient quasiment aucune chance d’aller au Gabon. Mais le forfait décrété par la Fédération tchadienne, en pleines éliminatoires, faute de moyens, a entraîné une suspension de l’équipe nationale A pour la CAN 2019. Un nouveau coup d’arrêt pour un football qui avait affiché des progrès encourageants, les deux années précédentes.
Les approximations ivoiriennes
Les champions d’Afrique semblent n’avoir toujours pas digérer leur victoire à la CAN 2015. Malgré les efforts du sélectionneur Michel Dussuyer, les Ivoiriens ont réalisé des éliminatoires poussives. La faute, peut-être, à certains joueurs-vedettes en méforme ces derniers mois : le milieu de terrain Yaya Touré, en difficulté à avec son club Manchester City, n’a quasiment plus joué avec les Eléphants ; l’avant-centre Wilfried Bony n’a pas davantage été à en réussite chez les Citizens ; l’ailier Gervinho a choisi un exil lucratif mais peu stimulant en Chine…
L’arbitrage
Sans quelques erreurs d’arbitrage, l’équipe ivoirienne n’aurait d’ailleurs peut-être pas défendu son titre, en janvier. Face à la Sierra Leone, les Eléphants auraient dû être sanctionnés d’au moins un penalty. Hamada Nampiandraza, notamment, a commis certaines erreurs qui donnent du grain à moudre à ceux qui dénoncent la médiocrité, voire la malhonnêteté, des arbitres africains. Youssef Essrayri, au sifflet durant Burkina Faso-Botswana, a ainsi été vertement critiqué pour avoir exclu deux Botswanais et pour les neuf minutes d’arrêts de jeu accordées. Des décisions qui semblent pourtant en conformité avec les lois du football.

Florent Ibenge: « Gagner avec trois buts d’écart, ça m’a beaucoup plu »

Le sélectionneur des Léopards de la RDC, Florent Ibenge, à la Can 2015 en Guinée Equatoriale
Le sélectionneur de la RDC, Florent Ibenge, est satisfait de la victoire de son équipe face à la Centrafrique (4-1) pour le dernier match des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations 2016. Grâce à cette victoire, les Léopards se sont qualifiés pour la prochaine CAN prévue du 14 janvier au 5 février 2017 au Gabon.   « Gagner avec trois buts d’écart, ça m’a beaucoup plu. Et puis au-delà de tout, c’est la qualification évidemment. Il faut ne pas oublier, parce que c’était le maître-mot. L’équipe adverse est venue avec beaucoup de rythme, ils ont exercé un pressing très haut, et on a eu du mal à sortir, mais ça n’a duré que quinze minutes », a fait savoir le technicien congolais à la fin du match.
Florent Ibenge s’est réjoui de la réaction de ses joueurs après les premières minutes.
« Petit à petit, on a réussi à sortir, jusqu’à ouvrir le score. Et après, on s’est rendu compte que chaque fois qu’on mettait du rythme, cette équipe était en danger. On s’est créé beaucoup d’occasions. On n’a pas été aussi réaliste qu’on aurait voulu, mais on a marqué quatre buts », s’est-il réjoui.
Le sélectionneur de la RDC a cependant noté quelques points négatifs dans la prestation de son équipe.
« Ce qui ne m’a pas plu, ce sont des imperfections qui ont fait que l’équipe adverse a marqué un but, et aussi le fait d’avoir été un tout petit peu timoré pendant les quinze premières minutes. Mais c’était compréhensible », a-t-il noté.
En 2017, la RDC va participer à sa 18e Coupe d’Afrique des nations et tentera de faire mieux qu’en 2015. Les Congolais ont fini 3e lors de la dernière édition de la CAN.
Les 16 équipes qualifiées pour la CAN 2017
  • Algérie
  • Burkina Faso
  • Cameroun
  • Côte d'Ivoire
  • Egypte
  • Gabon
  • Ghana
  • Guinée Bissau
  • Mali
  • Maroc
  • Ouganda
  •  RD Congo
  • Sénégal
  • Togo
  • Tunisie
  • Zimbabwe.

La RD Congo écarte la Centrafrique et disputera la CAN 2017

media  
Le Congolais Firmin Mumbele
L’équipe de la RD Congo a gagné 4-1 son ultime match des éliminatoires de la CAN 2017 et a donc éliminé celle de Centrafrique, le dimanche 4 septembre 2016 à Kinshasa.
Les Léopards de RDC disputeront leur troisième Coupe d'Afrique des nations de suite. Pas de première Coupe d’Afrique des nations de football pour la République centrafricaine. Les Fauves du Bas-Oubangui se sont heurtés à une sélection congolaise supérieure, ce 4 septembre 2016, en éliminatoires de la CAN 2017.
Les Congolais ont fait la différence aux 29e, 46e, 73e et 90e+1 minutes : sur une frappe bien placée du milieu de terrain Neeskens Kebano ; sur une incursion de l'attaquant Firmin Mubele, qui a dribblé le gardien de but adverse, Geoffrey Lembet ; sur une superbe talonade de l'attaquant Jonathan Bolingi ; puis sur une frappe de l'ailier Jordan Botaka.
Malgré Eloge Enza-Yamissi
Les Centrafricains n’ont pourtant pas baissé les bras. Alors qu’Eloge Enza-Yamissi avait déjà trouvé le poteau sur un tir (19e), le capitaine a réduit le score à la 64e minute. En vain. La République centrafricaine finit deuxième du groupe B des éliminatoires pour la CAN 2017.
Les Léopards iront au Gabon en janvier pour faire mieux qu’à la CAN 2015. En Guinée équatoriale, l’équipe dirigée par Florent Ibenge avait fini 3e...

RDC-RCA: 7 supporters blessés

Les supporters congolais au stade Amahoro lors de la finale du Chan 2016 remporté par la RDC face au mali (3-0). Photo Monusco/Abel Kavanagh
Sept personnes ont été blessées dimanche 4 septembre au Stade des martyrs de Kinshasa, après le match de la dernière journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations 2017, remporté par la RDC face à la RCA (4-1).
Cinq personnes ont été blessées dans une bousculade survenue après le match. Deux autres personnes ont été attaquées par des bandits avec des armes blanches à la sortie du stade.
Elles ont toutes été acheminées à l’hôpital du camp Lieutenant-Colonel Kokolo et à l’Hôpital général de Kinshasa.
Le match s’est disputé en début de soirée.